Ce vendredi 4 Octobre, avec les JA, nous avons rencontré la DDT pour aborder tous les sujets en suspend : les débuts du nouveau Gouvernement et l'attente d'un nouveau Préfet ne peuvent pas être des prétextes à attendre, alors que la situation de nombreuses exploitations nécessite une attention urgente. TFNB, avances PAC, entretien des cours d'eau, couverts interculture doivent avoir des réponses maintenant.
La Communauté de communes de Gevrey-Chambertin et de Nuits-Saint-Georges, la société TotalEnergies, organise en partenariat avec la Chambre d'Agriculture des réunions locales pour informer les exploitants du territoire sur le fond de compensation agricole collectif mis en place. Ce fond est susceptible d'accompagner financièrement des projets collectifs agricoles. Pour s'informer : - Mercredi 16 octobre 2024 à 10 heures à la Maison de Nuits-Saint-Georges - Mardi 22 octobre à 17h à la Salle des Climats à Gevrey-Chambertin
Alors qu’elle poursuit depuis plusieurs semaines, avec convictions, les négociations visant à faire aboutir la signature de l’accord commercial avec le Mercosur, la Commission Européenne a hier proposé, « en réponse aux appels lancés par les partenaires mondiaux », de reporter d’un an l’application du règlement visant à limiter la déforestation importée. Un affront pour les agriculteurs français, à rebours des promesses. Retrouvez le CP complet de la FNB :
Pour les bovins : le vaccin Bultavo3 peut être utilisé pour la protection sanitaire et pour les mouvements d’animaux vers la zone indemne et à l'export intra-UE (60j après vaccination). La vaccination doit être réalisée et certifiée par le vétérinaire sanitaire. Attention, un bovins vacciné avec le second vaccin Bluevac3 ne le rend pas éligible aux échanges, il devra être vacciné une seconde fois avec le Bultavo 3 pour partir à l'export. Cliquez pour en savoir plus.
Suite à un foyer de MHE déclaré dans la Creuse, la Zone régulée MHE s'étend désormais jusqu'à la Nièvre et quelques communes de l'Yonne. Comme pour la FCO, les animaux issus de cette zone devront désormais présenter des garanties supplémentaires en matière de MHE (désinsectisation + PCR négative) avant d'aller en zone indemne ou à l'étranger. Un vaccin pourra être aussi utilisé pour le certification dans un avenir proche. Soyez vigilants lors vos mouvements d'animaux (concours, salons...) pour ne pas introduire la maladie prématurément sur notre territoire.
90 % du réseau électrique à haute et très haute tension est situé en milieu rural et 70 % se trouve sur des parcelles agricoles. Le risque électrique est omniprésent dans les entreprises agricoles et les conséquences en cas d’accident sont très graves, voire mortelles. Même sans contact direct un accident est possible car un arc électrique peut se former.
Les cotations pour la semaine du du 23/09 au 28/09 sont : JB U- 5,42€ / VA R= 5,58€ / Broutard 400kg 3,89€. Cliquez sur la photo pour plus de détails
Le FMSE a ouvert un programme d'indemnisation des coûts et pertes économiques consécutifs à l’épisode d’IAHP de 2023. Il vise à soutenir les éleveurs exclus totalement ou partiellement des dispositifs d’aide d’État. Cliquez sur la photo pour consulter les conditions d'éligibilité.
Depuis cette campagne, plusieurs avancées ont été obtenue pour améliorer l'indemnisation des pertes des exploitants agricoles qui subissent des dégâts. Le seuil d'indemnisation pour être éligible aux dégâts de gibier a été simplifié et fixé à 150 € par exploitation et par campagne cynégétique. En cas de désaccord sur l'estimation faite par l'estimateur de la FDC, une nouvelle expertise peut être réalisé dans les 48 heures. Plus de détails en cliquant sur la photo.
Alors que les éleveurs font face à la conjonction des crises sanitaires MHE et FCO, avec un manque flagrant de réponses suffisantes de l’Etat, la colère et la détresse montent chez les producteurs, nous en avons averti le nouveau gouvernement ! Il nous faut d'urgence la prise en charge totale de la vaccination pour tous ; l'indemnisation rapide des pertes, y compris indirectes ; et que les opérateurs de la filière ne profitent pas du contexte pour imposer une baisse de prix qui n'est pas justifiée par le marché : tout particulièrement, les veaux laitiers peuvent partir sans PCR dans 75% des cas, et les filières sont tout à fait capable de prendre en charge les animaux atteints.
Le Conseil de l’Agriculture de Côte d’Or s’inquiète de la situation de nombreuses exploitations du département. Dans la difficultés, ne restez pas seul(e)s. Lisez l'intégralité du communiqué du Conseil de l’Agriculture de Côte d’Or en cliquant sur le lien.
